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    1st Legion death against Tuaregs in Decades....


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    The Tuareg was for decades a tradition opponent for Legionnaires in the Sahara... for the 1st time in decades a Legionnaire was killed in an action in the Sahara...

    http://info.sfr.fr/monde/articles/un-soldat-francais-a-ete-tue-au-mali,1420991/#sfrintid=P_actu_slide1_txt_infos&sfrclicid=ABP_actu_slide1_txt_infos

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    He had 3 citations on the Valeur Militaire and a citation with the National defence medal in gold...

    Né le 24 juillet 1979 en Belgique, le sergent-chef Harold VORMEZEELE aura servi la France durant près de 14 ans.
    A
    19 ans, le 24 février 1999, il s’engage pour cinq ans à la légion
    étrangère en qualité d’engagé volontaire. A l’issue de sa formation ini
    tiale
    au 4e régiment étranger de Castelnaudary, il intègre le 22 juillet 1999
    le 2e régiment étranger de parachutistes en qualité de grenadier
    voltigeur.

    A
    compter du 19 août 2000, il est amené, au sein du même régiment, à
    exercer les responsabilités d’opérateur radiographiste. Légionnaire
    sérieux et motivé, il se révèle compétent et efficace, se montrant
    particulièrement rigoureux dans l’exécution des missions confiées. Le
    1er février 2002, il est élevé à la distinction de légionnaire de
    première classe.

    Nommé
    au grade de caporal, énergique et déterminé, il se distingue par son
    remarquable investissement et son excellente condition physique.
    Manifestant un fort potentiel, il intègre alors la section des commandos
    parachutistes puis est naturellement orienté vers le corps des
    sous-officiers et est nommé au grade de sergent le 1er juillet 2005. Il
    se perfectionne alors dans le domaine de la troisième dimension et
    obtient son brevet supérieur de technicien de l’armée de Terre (BSTAT).
    Son profond attachement à la France lui fait déposer un dossier de
    naturalisation qu’il obtient le 7 mai 2010. Il est promu au grade de
    sergent-chef le 1er juillet de la même année.

    Faisant
    preuve depuis toujours d’un remarquable dévouement à son métier et
    d’une disponibilité sans faille, le sergent-chef VORMEZEELE a effectué
    plusieurs missions extérieures : la Bosnie-Herzégovine en 2000, le Gabon
    en 2001, Djibouti en 2001 et 2011, la Nouvelle-Calédonie en 2003, la
    République de Côte d’Ivoire en 2006, la République Centrafricaine en
    2007 et l’Afghanistan en 2008, 2010 et 2011.

    Le
    23 janvier 2013, dans le cadre du « GUEPARD », il est projeté en
    République de Côte d’Ivoire. Dans la nuit du 27 au 28 janvier, lors de
    l’opération « SERVAL », il saute en parachute avec son unité sur la
    ville de Tombouctou au Mali. Commando parachutiste compétent et
    particulièrement expérimenté, il se révèle une fois de plus à la hauteur
    dans cette situation de crise.

    Le
    19 février, peu avant 11h00, des éléments français constitués d’une
    section de commandos parachutistes, renforcée d’un contrôleur aérien
    avancé et d’une patrouille blindée en mission de reconnaissance dans le
    massif de l’Adrar à une cinquantaine de kms au sud de Tessalit, ont été
    pris à partie par des groupes terroristes. Au cours de cet accrochage,
    le sergent-chef VORMEZEELE, sous-officier du groupe de commandos
    parachutistes du 2e REP de Calvi, a été mortellement touché. Il est le
    second soldat français à trouver la mort au combat depuis le lancement
    de l’opération Serval au Mali.

    Le
    sergent-chef VORMEZEELE était titulaire de quatre citations dont trois
    avec attribution de la croix de la valeur militaire et d’une avec
    attribution de la médaille d’or de la défense nationale.

    Le
    sergent-chef VORMEZEELE était par ailleurs titulaire de la médaille
    commémorative française avec agrafes « ex-Yougoslavie » et « Afghanistan
    », de la médaille d’outre-mer avec agrafes « République de Côte
    d’Ivoire » et « République Centrafricaine », de la Croix du combattant
    et de la médaille de la défense nationale - échelon or.

    Agé de 33 ans, il a été tué dans l’accomplissement de sa mission au service de la France.
    L’armée de Terre, profondément unie dans la peine, partage le deuil de ses proches et de ses camarades de combat.

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    Hello Chris.

    Thank you for bringing this to our attention.

    Reading the entire text in the link you provided, one reads the military life of an exceptional soldier. I see him to have been a man made for being a soldier and a leader.

    I am a slight bit puzzled of him not yet having made at least Adjudant...? But then I do not know the present methods applied for advancement.

    As an aside: interesting to read readers comments following the article in the publication. At least not one along the lines of " mercenary, got what he had coming, so what etc".

    Cannot help but feel moved by any loss in the military regardless of country.

    Thanks again,

    Bernhard H. Holst

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    Hi,

    Probable that he would have been adjudant in any other unit, but there are only 30 soldiers in the Legions GCP... I assume higher rank is what you sacrifice by being a member of the elite.. The GCP used to have the unfortunate name CRAP...

    from Wikipedia...

    The GCP was founded in 1965 as Équipes de Saut Ouverture à Grande Hauteur (SOGH, High Altitude Jump Teams or HAHO Teams). In 1982, the unit was renamed Commandos de Recherche et d'Action en Profondeur (CRAP, "Deep Action and Recon Commando") before being renamed again as Groupement des Commandos Parachutiste
    (GCP) in 1999. Apparently, the unit was renamed as GCP after a
    discussion between the commander of CRAP at the time, Lieutenant Colonel
    Pascal Chapoulaud, and a US Army officer whilst on operations. The US
    Army officer had asked the commander of CRAP if he knew the meaning of
    the word 'crap' in English. Lieutenant Colonel Chapoulaud replied that
    he did not know, and asked a translator what the word meant. The
    translator informed the lieutenant colonel that the word 'crap' meant
    the equivalent of '' in the French language. The unit's name of
    'CRAP' thus changed to 'GCP' after this event.

    shows how officers only talk t officers... english speaking legionnaires had been laughing about that for decades...

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