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    Christophe

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    Everything posted by Christophe

    1. Hi Christian, 2 points worry me : 1. You don't have yet 40 victories ... Maybe it won't be so long for you to get them, but as soon it is done, I go to point 2, and there is another issue : 2. Which photo to use for the bust / monument ? You seems to change so often that it will take me years to adapt the sculpture to the evolution / change of your look... But, we are not in a hurry in our "Soviet" world... Time is with us... Cheeers. Ch.
    2. And, maybe are you thinking about this photo, I posted in the Quiz : http://gmic.co.uk/index.php?showtopic=3144&st=754 This is a pic dated 1946 of Colonel General Trubnikov, Deputy Commander in Chief of the Northern Army Group, wearing St George's Cross Class I to IV. As I mentioned, this is a studio photo, which does not mean they weer allowed to wear them in public. Ch. Pic : Awards of Russia 1698-1917 - Sergey Shishkov - vol 2 , page 201.
    3. Budenny wearing them, in 1916. Ch. Pic : ? Christophe ? ChR Collection
    4. Budenny's St George's Crosses and Medals : Ch. Pic : ? Christophe ? ChR Collection
    5. Hi Wild Card, These are good questions. I don't know for the first one... Probably, it is somewhere in the regulations books... For the second one, several high rank Soviet officers got imperial awards. Zhukov got the Class III and IV of the St George's Cross. Malinovsky and Rokossovski got the Class IV. Budenny of course got the Class I to IV.... About Budenny, you will find attached a few pics I have taken in the Central Armed Forces Museum, in Moscow. First one, his awards : Ch. Pic : ? Christophe ? ChR Collection
    6. A few stats... Quiz 2008 : * 19 questions asked, * with 291 answers, * and viewed more than 2,150 times. Nb of good answers for the Quiz 2008 : * 6 : Marc (Lapa) * 4 : Christian (Zulus) * 2 : Auke (Ferdinand), Christophe & Frank (Knarf) * 1 : Jim (JimZ) & Wild Card Complete statistics give since this Quiz has been launched (on 1 Nov. 2005) : * 190 questions asked, * with 2,436 answers, * This quiz has been viewed more than 24,720 times. * 38 Members of the Forum played, and 28 correctly answered at least 1 question : Nb of good answers : * 39 : Christian (Zulus) * 34 : Christophe * 14 : Frank (Knarf) * 13 : Jim (JimZ) * 11 : Bryan (Soviet) * 8 : Auke (Ferdinand) & Simon (Red Threat) * 6 : Belaruski, Carol I, Ed (Haynes) & Marc (Lapa) * 5 : Dan (Hauptman) & Wild Card. * 3 : Andreas (Alfred), Ivan (Piramida) & Kim (Kimj). * 2 : Chuck (in Oregon), Gerd (Becker), Jan (vatjan) & Order of Victory. * 1 : Charles (Hunyadi), Darrell, Daredevil, Dave (Navy FCO), Dudeman, Filip (Drugo), Rick (Stogieman) & Steen (Ammentorp). This is a great achievement. Thanks to all for your participation in this Quiz. Now, let's have fun with the 191st question, Wild Card's one !!!! Cheers. Ch.
    7. This medal is the Award Badge for the Foremost Worker in an International Socialist Competition. 1970s. Ch.
    8. Hi Christian, Nothing to add, except these are superb and outstanding pieces!!!!!!! Congratulations!!!! A collection like these would today be very very hard to gather.... Cheers. Ch.
    9. Looks more like something having been offered to him... Maybe for him to look more like a bear.... Ch.
    10. Hi Christian, I think you did well . I don't know if Beurton sounds French, but... There was an interesting article recently published in Le Courrier de Russie (bi-monthly newspaper for French expats in Russia). Marc, I guess it inspired you... Cheers. Ch.
    11. The French Presidency confirmed yesterday the date and place of Lazare Ponticelli funerals and homage ceremony. It will be on Monday 17 march, at 11:00 in the St Louis Cathedral of the Invalides in Paris. An homahe ceremony is also planned, in the afternoon at 15:30, still in the Invalides. See the announcement of the French Presidence of Republic : "Obs?ques de M. Lazare PONTICELLI en la cath?drale Saint-Louis des Invalides et hommage national aux poilus de la Premi?re guerre mondiale Le Pr?sident de la R?publique assistera lundi 17 mars 2008 ? 11 h 00 aux obs?ques de M. Lazare PONTICELLI en la cath?drale Saint-Louis des Invalides, ? l'issue de laquelle des honneurs militaires seront rendus au dernier poilu fran?ais de la premi?re guerre mondiale. Un hommage national aux poilus se prolongera l'apr?s-midi ? 15 h 30. Le Chef de l?Etat d?voilera une plaque en m?moire de l'ensemble des combattants de la guerre de 14-18 sous le d?me des Invalides et prononcera ? cette occasion un discours (place Vauban ? Paris 7?me) aux c?t?s du monde combattant, de jeunes scolaris?s et de nombreuses personnalit?s." From the French Presidence of Republic website : http://www.elysee.fr/documents/index.php?l...p;press_id=1169 Ch.
    12. Hi Christian, There seems to be some pbs with the links you posted... Cheers. Ch.
    13. I'd be in Moscow beginning of April. But, more details needed : location, etc... Let's find these. I guess some of our Moscovite members could help... and maybe visit it. Many thanks Slava for the info. Cheers. Ch.
    14. Of course, no pb... And, Marc, congratulations for your victory!!! Cheers. Ch.
    15. Hi Bison, This is a fantastic set!!!! Congrats!!!! Cheers. Ch.
    16. No one to try this one ? I'll try tomorrow night, if noone succeeds since... Cheers. Ch.
    17. Kevin, You're absolutely correct. Cheers. Ch.
    18. For our French speaking readers, the article published in the online version of Le Monde : Lazare Ponticelli, le dernier poilu fran?ais, est mort LE MONDE | 12.03.08 | 17h08 ? Mis ? jour le 12.03.08 | 20h19 l ?tait, en France, le dernier ancien combattant de 14-18, l'ultime rescap? parmi les 8,5 millions d'hommes mobilis?s en bleu horizon. Le der des der. Lazare Ponticelli est mort, mercredi 12 mars, au Kremlin-Bic?tre, ? l'?ge de 110 ans. Ce survivant nous reliait physiquement ? des photos d?fra?chies de pioupious en capote, les bandes molleti?res tire-bouchonn?es sur les brodequins, ? des images tourn?es ? la manivelle d'hommes hirsutes, le regard vide, enterr?s vivants dans les tranch?es. Avec sa disparition, la premi?re guerre mondiale s'enfonce un peu plus dans les brumes du pass?. Tant qu'il l'a pu, le vieil homme aura t?moign? sur le conflit, encore et encore, m?me quand ne sortait plus de sa bouche qu'un filet de voix ? peine intelligible. Alors que beaucoup de v?t?rans s'?taient claquemur?s dans le silence pour ne pas avoir ? raconter l'horreur, Lazare Ponticelli avait choisi de dire l'indicible. Il assumait ce devoir pour ceux qui n'avaient pas eu la chance de s'en tirer. "Tous ces jeunes tu?s, je ne peux pas les oublier. Quel g?chis !" Alors, pour eux et pour la gloriole, Lazare ouvrait aux solliciteurs sa petite maison acquise dans les ann?es 1920, au Kremlin-Bic?tre. Au milieu des meubles patin?s, les histoires de cet homme qui avait fr?quent? trois si?cles ?taient une remont?e dans le temps. C'?tait aussi une le?on d'humanisme apprise en enfer. Ses souvenirs de la vie quotidienne d'un simple soldat, d'un poilu, pr?servaient de l'oubli ou, pire, de la r??criture dogmatique. S'y m?laient sens du devoir, ?c?urement, ob?issance, h?ro?sme, r?volte, fraternit?. Ses bribes remontant au hasard de la m?moire r?sumaient les contradictions qui traversaient les combattants, emport?s sans toujours comprendre, broy?s par des ?v?nements qui les d?passaient. Il nous parlait d'eux, ses camarades, et des autres, en face, pas si mauvais bougres, finalement. La narration semblait m?canique. Mais une larme surgissait sur le rebord des yeux et roulait lentement sur la joue. Elle remontait de quatre-vingt-dix ans. Parfois, le narrateur prenait des licences avec la chronologie. Les sc?nes s'embrouillaient. De quoi faire tiquer les historiens. Mais fallait-il prendre ces souvenirs au pied de la lettre ? N'?tait-ce pas plut?t l'esprit qui comptait ? L'accumulation d'anecdotes formaient la geste du poilu, racont?e par le dernier d'entre eux. Chaque 11 novembre, Lazare allait ? pied au monument aux morts du Kremlin-Bic?tre, r?lait contre les discours ampoul?s, emphatiques, "toujours trop longs". Il se rendait aussi dans les ?coles ? 100 ans pass?s et martelait la m?me supplique. "Aux enfants, je leur dis et je leur r?p?te : ne faites pas la guerre." La vie de Lazare Ponticelli ?tait exemplaire pour bien plus que cette parenth?se terrible de quatre ans. C'?tait aussi l'histoire d'un ?migr? italien illettr?, enfant de rien devenu patron d'une multinationale. Le parcours d'un "Rital" qui voulait absolument se battre pour cette France qui l'avait tol?r?, puis reni?, enfin reconnu sur le tard comme un des siens. "J'AI VOULU D?FENDRE LA FRANCE PARCE QU'ELLE M'AVAIT DONN? ? MANGER" Lazare fut longtemps Lazzaro, n? le 7 d?cembre 1897, ? Bettola, en Emilie Romagne. Il est issu d'une famille pauvre de sept enfants. Un fr?re puis son p?re meurent en 1903. La m?re abandonne la famille qui se disperse. La s?ur a?n?e emm?ne une partie de la fratrie "au paradis", l? o? il y a du travail, en France. Trop jeune, Lazare reste en Italie. Il est confi? ? une mar?tre. A 9 ans, n'ayant aucune nouvelle des siens, Lazare d?cide de partir ? son tour. Il prend le train pour Paris, d?barque gare de Lyon sans parler un mot de fran?ais, ne sachant ni lire ni ?crire. Il erre trois jours dans la salle des pas perdus, est recueilli par une famille italienne qui le prend en piti? et l'h?berge quelques mois. Lazare devient ramoneur et crieur de journaux. D?s la d?claration de guerre, trichant sur son ?ge, l'Italien s'engage. Il int?gre le premier r?giment de marche de la l?gion ?trang?re de Sidi Bel Abbes, y retrouve par hasard son fr?re C?leste. "J'ai voulu d?fendre la France parce qu'elle m'avait donn? ? manger", explique Lazare. Apr?s un mois d'instruction, il est envoy? au front, sous les ordres d'un descendant de Garibaldi. Il participe ? la confusion des premiers mois. Son premier fait d'arme est d'avoir, alors qu'il ?tait de garde, bless? un g?n?ral au mollet. Il assiste ? l'h?catombe, soigne son fr?re, bless? au combat. Le r?giment perd un quart de ses effectifs en trois semaines. "Au d?but, nous savions ? peine nous battre et nous n'avions presque pas de munitions. Chaque fois que l'un d'entre nous mourait, on se taisait et on attendait son tour." Il crapahute dans la guerre de mouvement (Soissons, Vitry-le-Fran?ois, l'Argonne), survit ? la pagaille. Puis il creuse les premi?res tranch?es d'un conflit qui s'organise pour durer. Lazare Ponticelli aimait raconter ce jour o? un homme s'?tait retrouv? bless? dans le no man's land qui s?parait les lignes. Les brancardiers n'osaient s'aventurer sous le feu. "Il hurlait : Venez me chercher, j'ai la jambe coup?e. Je n'en pouvais plus. J'y suis all? avec une pince. Je suis d'abord tomb? sur un Allemand, le bras en bandouli?re. Il m'a fait deux avec ses doigts. J'ai compris qu'il avait deux enfants. Je l'ai pris et je l'ai emmen? vers les lignes allemandes. Quand ils se sont mis ? tirer, il leur a cri? d'arr?ter. Je l'ai laiss? pr?s de sa tranch?e. Il m'a remerci?. Je suis reparti en arri?re, pr?s du bless? fran?ais. Il serrait les dents. Je l'ai tir? jusqu'? nos lignes, avec sa jambe de travers. Il m'a embrass? et m'a dit : Merci pour mes quatre enfants. Je n'ai jamais pu savoir ce qu'il ?tait devenu." En 1915, Lazare se bat du c?t? de Verdun lorsque l'Italie, le 24 mai, se range aux c?t?s des Alli?s. Un officier le fait rechercher dans les tranch?es. "Tous les Italiens devaient retourner se battre chez eux." Le l?gionnaire proteste, souhaite rester. "Je pensais que m'?tre battu pour la France avait fait de moi un Fran?ais." D?ception. "Ils m'ont dit : Il faut vous en aller ." Il est d?mobilis? de force, rentre ? Paris, se cache six semaines, tente de se r?engager dans l'arm?e fran?aise, est finalement transf?r? entre deux gendarmes ? Turin. "JE TIRE SUR TOI MAIS JE NE TE CONNAIS M?ME PAS. SI SEULEMENT TU M'AVAIS FAIT DU MAL" Il enfile ? regret l'uniforme italien, int?gre les chasseurs alpins, se retrouve dans le Tyrol, enterr? dans la neige face aux lignes autrichiennes. Ses compagnons parlent couramment l'allemand. Les deux camps s'envoient des messages avec un ?lastique puis sympathisent. "Ils nous donnaient du tabac et nous des boules de pain. Personne ne tirait plus." Les hommes organisent m?me des patrouilles communes. La farce dure trois semaines, manque de se terminer devant un conseil de guerre. "L'?tat-major nous a d?plac?s dans une zone plus dure." En 1916, il est sur le Monte Cucco, qui sera le th??tre d'une terrible bataille l'ann?e suivante. Les hommes multiplient les assauts st?riles et d?vastateurs, affrontent les gaz sans masque. Lazare reste plus de deux jours derri?re sa mitrailleuse. Des ?clats d'obus lui gr?lent le visage. Aveugl? par son sang, il parvient ? bloquer des Autrichiens qui se sont r?fugi?s dans une caverne. Sa section fait deux cents prisonniers. Le h?ros bless? est envoy? ? l'arri?re. Il est op?r? sans anesth?sie, des hommes le maintiennent clou? sur la table d'op?ration pendant que le chirurgien creuse la plaie et la badigeonne d'alcool. Ses faits d'arme valent ? Lazare une citation mais ?galement un d?go?t absolu de cette guerre. "Je tire sur toi mais je ne te connais m?me pas. Si seulement tu m'avais fait du mal." La r?voltante absurdit? des combats est travers?e d'infimes moments de bont? dont la raret? fait la valeur. "Mon meilleur souvenir en Italie, ce sont les lettres que ma marraine de guerre, une porteuse de lait que j'avais rencontr?e avant de partir au front, m'envoyait. Ne sachant ? l'?poque ni lire, ni ?crire, ce sont des copains qui m'aidaient ? correspondre avec elle." Apr?s quelques semaines de convalescence ? Naples, Lazare est renvoy? en 1918 sur le front, vers Montello, o? il apprend l'Armistice. Autrichiens et Italiens, "tous les gars levaient les bras en l'air". Lazare est contraint de rester sous l'uniforme italien. Il apprend par hasard la mort d'une de ses s?urs, Catherine, victime de la grippe espagnole. En 1920, l'arm?e italienne souhaite le d?mobiliser. Il refuse : il veut l'?tre sous l'uniforme fran?ais, avec lequel il a commenc? la guerre, ce qui lui permettra de revenir l?galement dans ce pays. Il lui faut ? nouveau se battre, cette fois contre l'absurde administration. Il obtient finalement gain de cause. Il revient ? Paris, avec cinq francs en poche. Il redevient ouvrier. Avec C?leste et un autre fr?re, Bonfils, il monte une entreprise de ramonage et de chaudronnerie. Il se marie en 1923 avec une Fran?aise, Clara, dont il a trois enfants. Lazare n'obtiendra la nationalit? fran?aise qu'en 1939, ? la veille de la d?claration de guerre. Il veut encore se battre mais est jug? inapte au service parce que trop ?g?. Il traverse sans d?shonneur l'Occupation. Apr?s la Lib?ration, sa soci?t? Ponticelli fr?res continue de prosp?rer. Elle se diversifie, notamment dans les travaux publics et l'extraction p?troli?re, prend une stature internationale. Le groupe a aujourd'hui un chiffre d'affaires de 480 millions d'euros et emploie 3800salari?s. Lazare Ponticelli en abandonnera progressivement les r?nes dans les ann?es 1960. Il lui restait ? honorer la promesse faite ? ses camarades des tranch?es. "Quand nous montions ? l'assaut, nous nous disions : Si je meurs, tu penseras ? moi. " Ne jamais les oublier : le dernier rescap? aura respect? jusqu'au bout ce serment." Beno?t Hopquin Ch.
    19. Report from BBC News : "France's final WWI veteran dies France's last surviving veteran of World War One, Lazare Ponticelli, has died at the age of 110. President Nicolas Sarkozy announced the death on Wednesday, paying tribute to the last "poilu", as French WWI veterans were known. "Today, I express the nation's deep emotion and infinite sadness," he said. Mr Ponticelli, originally Italian, had lied about his age in order to join the French Foreign Legion in August 1914, aged 16, Mr Sarkozy said. There are a handful of surviving WWI veterans from other countries, including British pilot Henry Allingham and Austro-Hungarian artillery man Franz Kunstler. France's oldest surviving WWI veteran, Louis de Cazenave, died in January, also aged 110. The last of Germany's veterans from the war died also died in January. Day of remembrance Mr Ponticelli was born on 7 December 1897 in Emilia Romagna, northern Italy. He made his way, at the age of nine, to France to join his two brothers, and worked in Paris as a chimney sweep and paper boy. Mr Sarkozy said there would be a national day of remembrance for France's war dead in the coming days as he marked Mr Ponticelli's death. "I salute the Italian boy who came to Paris to earn his living and chose to become French, first in August 1914 when he lied about his age to sign up at 16 for the Foreign Legion to defend his adopted homeland," the French president said in a statement. "Then a second time in 1921, when he decided to remain here for good." Mr Ponticelli, who lived with his daughter in a southern suburb of Paris, had initially refused a government offer of a state funeral, the AFP news agency reported. But he later decided to accept "in the name of all those who died, men and women", during WWI. "Poilu", a word meaning hairy or tough, is the affectionate name given since Napoleonic times to French foot soldiers." Story from BBC NEWS. Ch.
    20. Lazare Ponticelli is dead. We just learn that Lazare Ponticelli died today in Le Kremlin-Bicetre, near Paris. He was the last WW1 Poilu still alive. RIP. Here is an article from AP : "Last World War I veteran in France, Lazare Ponticelli, dies The Associated Press Wednesday, March 12, 2008 PARIS: France has lost its last remaining veteran of World War I, Lazare Ponticelli, who died Wednesday at age 110 after outliving all the other 8.4 million Frenchmen who fought in what they called "la Grande Guerre." Ponticelli, who was born in Italy but chose to fight for France and was a French citizen for most of the past century, died at his home in the Paris suburb of Kremlin-Bicetre, the national veterans' office said. "It is to him and his generation that we owe in large part the peaceful and pacified Europe of today. It is up to us to be worthy of that," President Nicolas Sarkozy said in a statement. France planned a national funeral ceremony Monday honoring Ponticelli and all the "poilus," an affectionate term meaning hairy or tough that the French use for their soldiers who fought in World War I. The 1914-1918 conflict, known at the time as the Great War or the "war to end all wars," tore Europe apart and killed millions. Only a handful of World War I veterans are still living, scattered from Australia to the United States and Europe. Germany's last veteran from the war died on New Year's Day. Monuments to battles and war dead cover swathes of France where trenches divided the landscape during the war, which left 1.4 million French fighters dead, of 8.4 million who served. The last survivor was an unlikely one. Ponticelli was born Dec. 7, 1897, in Bettola, a town in the foothills of the Apennines in the Emilia Romagna region of northern Italy. To escape a tough childhood, Ponticelli trooped off alone at age 9 to the nearest railway station, 34 kilometers (21 miles) away in Piacenza, where he took a train to join his brothers in France, eventually becoming a French citizen, according to the veterans' office in Versailles. In the French capital, he worked as a chimney sweep and then as a newspaper boy. When the war broke out, he was just 16, so he lied about his age to enlist, the president's statement said. Ponticelli decided to fight for France, because it had taken him in. "It was my way of saying 'Thank you," he said in a 2005 interview with the daily Le Monde. Ponticelli joined the Foreign Legion during the war and served in the Argonne region of forest, rivers and lakes in northeast France. He was detailed to dig burial pits and trenches. "At the beginning, we barely knew how to fight and had hardly any ammunition. Every time that one of us died, we fell silent and waited for our turn," he said in the 2005 interview. He also recalled running into No Man's Land to save a wounded comrade stuck in barbed wire. "He was shouting, 'Come and get me, I've severed a leg.' The stretcher-bearers didn't dare go out. I couldn't bear it any longer," he said. When Italy entered the war in 1915, Ponticelli was called up to fight with an Italian Alpine regiment. He tried to hide, but was found and sent to fight the Austrian army. He described moments of fraternity with enemy Austrian soldiers. "They gave us tobacco, and we gave them loaves of bread. No one was shooting any more. The headquarters found out, and moved us to a tougher zone," he told Le Monde. He described the joy in receiving letters from a milkmaid who "adopted" him when he was serving in Italy. He couldn't read at the time, so comrades read them to him, according to a biography of him by the Versailles veterans office. He returned to France in 1921, and he and his brothers started a company that made factory smokestacks. The company, Ponticelli Freres, grew into a manufacturer of specialized industrial equipment and is still in business. Ponticelli became a French citizen in 1939, his nephew said. His family was uncomfortable with the elaborate national funeral ceremony planned. Ponticelli himself had agreed to one before his death, as long as it honored all the poilus and not just himself. "We are trying to keep this a bit personal. We didn't want all this ceremony," said his grandnephew, Daniel Ponticelli. He will be interred in a family burial plot in Paris. Full information about survivors was not available." ___ Associated Press writers John Leicester and Pauline Freour contributed to this report. Ch.
    21. Hi Bison, Nice to see you here... also. Cheers. Ch.
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